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Titre :Premiers froids
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Mortreuil, Félix ; Maquis, Gaston
Interprète(s) :Mercadier, Émile
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Support d'enregistrement :Cylindre
Format :Standard (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :Pathé
Numéro de catalogue :1680
Couleur de la pâte :blanc
État :sature, fêlé au début
Vitesse (tours/minute) :130
Matériel employé au transfert :Archéophone
Date du transfert :06-12-1998
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous. Coll. Maison de la radio, discothèque centrale. Tocs de DAT
Texte du contenu :premiers froids

Chanté par Mercadier, Mayol, Karl Ditan - Paroles : Félix Mortreuil - Musique : Gaston Maquis - Éditeur : La Chanson Moderne (1898)


Lorsqu’on est amant et maitresse
Ah ! qu’ils sont beaux, les premiers temps !
Le cœur est tout à son ivresse
Aux plaisirs de tous les instants
On se câline, l’on s’embrasse
On vit dans un charme infini
Et quoi qu’on dise ou bien qu’on fasse
Pour toujours on se croit uni

{Refrain :}
Les premiers serments
Qu’on fait entre amants
Sont pleins de promesses
Par l’amour charmé
On jure s’aimer
Toujours et sans cesse !
Mais quand le baiser
Cesse de griser
Le cœur devient lâche
Dans un entretien
Pour un mot, un rien
On se fâche !

Quand, par hasard, on se rencontre
On passe d’un air conquérant
On est ému, mais on se montre
Par ironie, indifférent
Alors, un soir, perdant la tête
Ivre d’amour, le cœur serré
Ainsi qu’un enfant, on se jette
Aux genoux de l’être adoré !

{Refrain :}
Les premiers serments
Qu’on fait entre amants
Sont pleins de promesses
On voulait bouder
Mais il faut céder
Aux tendres ivresses !
On se détestait
On se méprisait
Et que sais-je encore ?
Mais mentir, pourquoi ?
Puisque malgré soi
On s’adore !


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